1951, Alger. Henri Cachia, jeune garagiste passionné, voit arriver dans son modeste atelier une Porsche 356 Cabriolet. Le bolide est mal en point, sa boîte de vitesse est totalement hors d'usage. Trouver des pièces pour ce modèle en Algérie était alors impossible. Henri décide donc de faire ses valises, direction l'Allemagne, afin de s'approvisionner à la source.
Arrivé à Stuttgart, c'est la déception, la pièce n'est pas disponible en stock. Cependant Ferdinand Porsche en personne, conquis par la détermination du Français, lui offre de rester et d'effectuer un stage dans ses ateliers.
Quelques jours plus tard, Henri repart en Algérie avec ses pièces, mais surtout avec de merveilleux souvenirs et un contrat de distribution exclusive pour l'Algérie.
Une autre Porsche 365 T5 achetée par Henri Cachia à Alger en 1961 se trouve actuellement en rénovation en Allemagne après un séjour en Amérique.
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