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Si on connait tous les petites bombinettes GTI envoutantes et diaboliques qui ont fait graver ces lettres dans le Panthéon de l'automobile, on sait moins que la première GTI de l'histoire est selon la légende une création divine signée à la pointe de son trident.
La Maserati 3500 GTI
En 1957, Maserati s’est officiellement retirée du sport automobile, et toute l’attention se porte désormais sur la production d’automobiles Gran Turismo.
La marque au Trident présente au Salon de l’automobile de Genève en mars 1957, celle que tout les tifosi, la 3500 GT. Une GT luxueuse mais son image manque de sportivité pour se faire un nom.
En 1960, et après 500 exemplaires vendus, Maserati qui veut changer l'image de sa GT trop sage et la rendre démoniaque et pour cela elle met les points sur les i, sa GT est un belle est bien une sportive ! et lui transfuge l'injection, une invention qui remonte à 1893 lorsque Rudolph Diesel brevette l’injection de carburant dans un moteur thermique.
La 3500 GT devient la 3500 GTI, la magie a opéré.
Présentée au Salon International de l’Auto de 1960, la GTI est devenue l’année suivante la première voiture de production italienne à injection de carburant et surtout la première GTI commercialisée de l'histoire, le système d'injection à déjà était monté sur des voitures de compétitions.
Elle dispose d’une injection mécanique Lucas et développait 235 ch (173 kW ; 232 ch). La boîte de vitesses à 5 rapports, qui était disponible en option depuis 1960, a été rendue standard. La carrosserie avait une ligne de toit abaissée et est devenue un peu plus longue. Des modifications mineures vers l’extérieur sont également apparues (nouvelle calandre, feux arrière, pneus radiaux 185VR16 Pirelli Cinturato, vitres de ventilation). À partir de 1961, les cabriolets 3500 destinés aux marchés d’exportation ont été nommés 3500 GT Spyder et GTi Spyder.
Pour l'histoire, si l'injection était montée sur des moteurs d'avion par Mercedes-Benz et Bosch depuis les années 30, il faudra attendre la fin de la deuxième guerre mondiale pour voir les constructeurs automobiles s’intéresser à l’injection.
En 1949, ce sont les voitures d’Indianapolis, puis, vers 1953, une voiture de compétition anglaise et, en 1954, de nouveau Mercedes, qui utilisent l’injection indirecte ou directe en compétition.
De nos jours, plusieurs sigles ont inclus '' injection '' : TDI, GDI, TDCI, Turbo ie... mais c'est le GTI ''Grand Touring Injection'' qui prévaut sur tout le reste du fait des caractéristiques cette catégorie dont la production doit être restreinte et doit allier la sportivité au luxe.
Les GTI les plus connues et les plus populaires reste celle qui offrent un plaisir relativement abordable et qui ont vu la course à la concurrence de deux marques : Volkswagen et Peugeot.
C'est VW qui présente sa Golf GTI en premier au Salon de Francfort en septembre 1975, Peugeot attendra janvier 1984 pour que sa 205 GTI soit présentée.
Mais si c'est deux GTI se concurrence dans la même catégorie, elles avaient des concurrentes communes issus d'autres technologies, notamment le Turbo.
Dans les années 80 soufflait un vent d'extravagance et de liberté, une aubaine pour les constructeurs européens et japonais qui voulaient s'exporter. Le marché nord-américain, pourtant friand de sportives et autres Muscle Cars, ne sera cependant pas touché par ce phénomène, même si des marques comme Ford se lanceront dans cette production pour leurs gammes européennes.
En Allemagne, Opel présente en 1984 une remarquée Kadett GSI équipée d’un quatre cylindres de 1.8 Litre de 115 ch, puis 2 Litres et 130 ch deux ans plus tard. Chez Ford, on a bien essayé, mais sans grand succès, de contrer la Golf dès 1980 avec l’Escort XR3 1600 (96 ch), puis XR3i (105 ch), ainsi qu’avec une version sportive de la Fiesta en 1981, la XR2 qui verra ce même moteur Kent 1,6 Litre délivrer 84 ch, puis 96 ch en 1983 et enfin 110 ch sur la XR2i de 1989. Dans les gammes européennes des marques japonaises, plusieurs modèles vont s’imposer, comme la Mitsubishi Colt GTI Turbo de 125 ch en 1986, ainsi que la Toyota Corolla GT 16S de 121 ch ou la Honda CRX de 125 ch en 1987. Chez l’Italien Fiat, la Uno est la voiture la plus vendue en Europe en 1983 et l’arrivée d’une version Turbo ie de 105 ch en 1985 est censée placer ce modèle dans la course des GTI. Si le moteur issu de la Ritmo est tout à fait à la hauteur, le châssis en revanche se révèlera moins performant.
Chez les constructeurs français, la riposte s’organise rapidement, notamment au sein même de PSA qui voit avec bénédiction la 205 GTI comme une locomotive pour d’autres modèles du groupe. Ainsi, en 1985, Citroën tente de concurrencer sa cousine avec la Visa qui est à son tour lancée en version GTI, dotée du même moteur que la 205, le Type XU5 J de 1 580 cm3 offrant 105 ch. Extérieurement, la Visa GTI se distingue par ses doubles phares ronds, ses élargisseurs d’ailes, ses bas de caisse et spoiler spécifiques ainsi que son sigle GTI bien en évidence sur le coin du capot. En 1987, c’est au tour de la Citroën AX Sport de faire parler d’elle avec son moteur de 1 294 cm3 (95 ch) préparé chez Danielson. Cette même année, Peugeot sort la 309 GTI dotée du moteur 1.9 XU9 JA offrant 130 ch, qui sera suivie en 1989 de la version 309 GTI 16 soupapes de 160 ch. La concurrence hexagonale la plus notable reste toutefois la Renault Supercinq GT Turbo lancée en 1985 afin de remplacer la R5 Alpine Turbo de 1981. La Super 5 GT Turbo dispose du moteur de la R11 Turbo, d’une cylindrée de 1 397 cm3 développant 115 ch, puis 120 ch pour la Phase 2 de 1987.
La Saga VW Golf GTI
Chez Volkswagen l'écusson GTI est apposé exclusivement sur les sportives compacts, les berlines eux on l'écusson GLI '' Grand Luxury Injection '', il faut comprendre que GTI est un niveau de finition qui n'est pas relié au type de moteur, même si à la base Volkswagen utilise ce terme pour son système d'injection directe de carburant. La technologie GTI a été déployée pour la première fois sur la Volkswagen Golf GTI de 1976. La GTI était destinée à alimenter les longs trajets sans sacrifier les performances en utilisant un nouveau système d'injection directe de carburant.
Ainsi on a eut en GTI la UP, Lupo, la Gol, la Polo...
Les Golf GTI
Golf GTI Mk1
En développement depuis 1974. En 1974, une demi-douzaine de membres du personnel de Volkswagen, dont Anton Konrad, alors attaché de presse en chef de Volkswagen, ont concocté un plan secret pour développer une version sportive de la Golf. Il n’y avait pas de mandat officiel pour développer le Sport Golf, mais Hermann Hablitzel, membre du conseil d’administration pour la technologie, a veillé à ce que le projet se poursuive. Les premiers prototypes voient le jour, dont un véhicule équipé d’un moteur à carburateur générant 100 ch. Au début du mois de mars 1975, Hablitzel présente officiellement le projet Sport Golf à Toni Schmücker, président du conseil d’administration, qui lui donne le feu vert. En conséquence, le Sport Golf clandestin est officiellement devenu l’ordre de développement EA195. Maintenant, il y avait un calendrier – et un calendrier ambitieux en plus ! Le véhicule devait célébrer sa première mondiale au Salon international de l’automobile (IAA) de Francfort en septembre, et le projet a donc pris de la vitesse. L’EA195 a franchi une étape cruciale lorsqu’elle a finalement été associée au bon groupe motopropulseur, un moteur à injection générant 110 ch. Cependant, la Super Golf n’avait même pas encore de nom. Parmi les suggestions qui ont été discutées, on peut citer le TS et le GTS. Mais c’est GTI qui a remporté la course. Dans le même temps, le designer en chef Herbert Schäfer, un golfeur passionné, a réinventé le pommeau de vitesse en fixant simplement une balle de golf à la tige de sélection de la GTI.
Première mondiale en 1975, lancement en 1976. Puis vint l’IAA. Volkswagen a présenté la Golf GTI et a reçu une réponse médiatique enthousiaste – tout le monde en voulait une ! Et ils ont obtenu ce qu’ils demandaient. En juin 1976, la Golf GTI Mk1, au prix de 13 850 marks allemands, a été lancée en Allemagne avant de connaître un succès mondial. Le plan initial était de fabriquer 5 000 unités de cette gamme de produits spéciaux afin de récupérer au moins le coût de développement et l’investissement dans l’équipement de production. Cependant, les choses se sont déroulées un peu différemment puisque ni Konrad, ni Hablitzel, ni Schmücker n’avaient anticipé le niveau de popularité de cette Golf GTI avec une vitesse de pointe de 182 km/h et des extensions de passage de roue noires, un cadre noir autour de la lunette arrière, un bord rouge autour de la calandre, des sièges sport en tartan, le pommeau de levier de vitesses en boule de golf et un volant sport avec une caractéristique de design spéciale. Les 5 000 unités de la Golf GTI Mk1 se sont finalement retrouvées à 461 690 unités – et le couronnement ultime de la gamme de produits a été la Pirelli-GTI, une édition spéciale générant 112 ch. Il s’agit du premier chapitre de ce qui reste la voiture de sport compacte la plus réussie au monde.
Mais 110 ch, ce n'est pas assez pour certains fans. Heureusement le préparateur allemand Oettinger propose une culasse à 16 soupapes qui permet de porter la puissance à 136 ch. Cette Golf GTI 16S sera officiellement commercialisée par Volkswagen, mais uniquement en France, l'Hexagone étant à l'époque le premier marché de la Golf GTI.
1984 – Golf GTI Mk2
Coup de génie avec jusqu’à 160 ch. Un véritable coup de génie stratégique s’ensuit avec la Golf GTI Mk2 au début de l’année 1984. Développant toujours 112 ch, elle perpétue le concept et l’ADN du design de la première génération. Les insignes de la GTI, en particulier la bande rouge sur la calandre et les sièges sport en tartan, sont devenus des éléments de design classiques et la nouvelle venue est finalement devenue une icône. En 1984, la puissance du véhicule a brièvement chuté à 107 ch à la suite de l’introduction du convertisseur catalytique. Deux ans plus tard, Volkswagen compense la perte de puissance avec un nouveau moteur 16V développant 129 ch avec convertisseur catalytique, ce qui se rapproche de l’agilité de la GTI d’origine (139 ch sans convertisseur catalytique). En 1990, le compresseur G-Lader de la Golf GTI G60 a porté sa puissance à 160 ch.
1991 – Golf GTI Mk3
Jusqu’à 150 ch. Volkswagen a transféré les insignes GTI à la troisième génération en 1991. Les doubles phares de la deuxième génération de GTI étaient désormais dissimulés derrière une lentille partagée et la puissance du véhicule commençait à partir de 115 ch. Un an plus tard, la puissance du moteur est portée à 150 ch grâce à un nouveau moteur à quatre soupapes. En 1996, une version diesel turbocompressée (TDI) générant 110 ch vient enrichir le concept GTI. Des années plus tard, les moteurs essence et diesel seront divisés une fois pour toutes en GTI et GTD. 1996 a également vu le lancement du modèle anniversaire « 20 ans de GTI ».
1998 – Golf GTI Mk4
Icône générant 180 PS. La quatrième génération de la GTI, introduite en 1998, était modeste en termes de style et a été la première et la seule GTI à supprimer des éléments tels que la bande rouge dans la calandre. Néanmoins, le véhicule est tout de même devenu une icône du design, célébré aujourd’hui comme le point de départ d’une nouvelle ère plus propre du design automobile. En termes de technologie, la Golf GTI Mk4 de 150 ch était une voiture qui tenait les concurrents à distance grâce à son agilité et à sa qualité. Les moteurs à essence – à quatre et cinq cylindres – généraient jusqu’à 170 ch, tandis que les moteurs diesel délivraient un maximum de 150 ch. En 2001, Volkswagen a célébré le premier quart de siècle de l’icône avec l’édition spéciale turbocompressée « 25 ans de GTI » générant 180 ch.
2004 – Golf GTI Mk5
Retour et jusqu’à 230 ch. En septembre 2003, Volkswagen a lancé un magnifique retour du classique à l’IAA avec un prototype de la cinquième génération de GTI. Plus que jamais, l’acronyme GTI est devenu synonyme de dynamique de conduite compacte avec cette génération. En septembre 2004, Volkswagen a présenté la version de série au Mondial de l’Automobile de Paris, tandis que le lancement de la Golf GTI Mk5 a suivi en novembre. Ses caractéristiques étaient un look nettement plus affûté, un moteur turbocompressé de 200 ch et des caractéristiques de maniabilité suprêmes. Volkswagen a propulsé le concept GTI dans le futur avec cette version de la voiture de sport. Les nouvelles jantes design Denver et la calandre noire en forme de V étaient des caractéristiques particulièrement frappantes. Le nouveau moteur turbocompressé a également donné beaucoup de punch : il a propulsé la GTI avec une boîte de vitesses manuelle à 100 km/h en seulement 7,2 secondes. L’équipement du véhicule avec la nouvelle boîte de vitesses à double embrayage (DSG) a permis de réduire le temps nécessaire à seulement 6,9 secondes. La vitesse maximale du véhicule était de 235 km/h. Le slogan de la première brochure était le suivant : « Le sport de haut niveau n’a jamais été aussi amusant ! ». À l’occasion du 30e anniversaire de l’emblématique voiture de sport en 2006, ses créateurs ont fait découvrir aux amateurs de GTI l’édition « 30 ans de GTI », qui a généré 230 ch. Équipée du même moteur, la réincarnation de la « Pirelli GTI » a été lancée en 2007.
2009 – Golf GTI Mk6
Faible rapport poids/puissance et jusqu’à 235 ch. La sixième génération de la Golf GTI a suivi en 2009. Nul autre que la légende de la course automobile Hans-Joachim Stuck était chargé de perfectionner les réglages du véhicule. Cette nouvelle génération de Golf GTI a redéfini le concept d’adhérence grâce à un blocage de différentiel électronique (XDS). Avec une vitesse de pointe de 240 km/h, cette GTI était équipée d’un moteur turbocompressé générant 210 ch et était très amusante à conduire. Cette génération comportait un générateur de sons et un nouveau concept de système d’échappement (avec un tuyau d’échappement à gauche et un à droite) offrant un dynamisme audible. Cette GTI a toujours perpétué la tradition de la version originale dans le futur. En 2011, le véhicule a été mis à disposition en cabriolet pour la première fois. Cette génération a culminé avec la « Golf GTI Edition 35 », générant 235 ch, à l’occasion du 35e anniversaire de la gamme de produits en 2011. Volkswagen a présenté le nouveau vaisseau amiral de la GTI au Nürburgring et, avec une puissance de 235 ch, il a été le premier à s’approcher des 250 km/h – 247 km/h pour être précis. Grâce à un rapport poids/puissance de 6 kg/ch, la GTI est devenue plus agile que jamais, atteignant 100 km/h en seulement 6,6 secondes.
2013 – Golf GTI Mk7
En pleine forme avec jusqu’à 310 ch. La septième génération de la GTI a été lancée en deux versions de sortie au printemps 2013. Volkswagen a dévoilé cette nouvelle Golf GTI aux représentants des médias internationaux à Saint-Tropez. C’était la première fois que le véhicule était directement lancé en deux versions de sortie – la version de base02 délivrait 162 kW/220 ch tandis que la Golf GTI Performance03 pouvait libérer 169 kW/230 ch. Cette dernière a été la première Golf GTI à disposer d’un blocage de différentiel pour l’essieu avant moteur et à être construite sur la matrice transversale modulaire (MQB). Cette nouvelle plate-forme technique a permis de réduire le poids de la GTI jusqu’à 42 kg par rapport à sa devancière, ce qui la rend encore plus dynamique. La version de 230 ch avec boîte de vitesses manuelle a été la première Golf GTI à atteindre 250 km/h. C’est ainsi qu’est née la Golf GTI Clubsport04, présenté en action sur le circuit de Portimão en novembre 2015, qui était capable de délivrer jusqu’à 213 kW/290 ch grâce à une fonction boost. Le véhicule a été lancé en 2016 et il a brouillé les frontières du sport automobile. Il n’a fallu que 5,9 secondes pour accélérer le véhicule à 100 km/h. Un an plus tard, la Golf GTI Clubsport S04 avec une puissance de 228 kW/310 ch, il a fait une percée sur le territoire du sport automobile. Au printemps 2016, le pilote d’usine Volkswagen Benjamin Leuchter a pulvérisé le précédent record de véhicules à traction avant sur la Nordschleife du Nürburgring au volant de la Golf GTI Clubsport S avec une vitesse de pointe de 265 km/h en 07:49:21 minutes – quelle façon de célébrer le 40e anniversaire de la Golf GTI !
2019 – Golf GTI Mk8
Le secret du succès de la GTI est que son ADN n’a jamais changé. Elle a toujours un design épuré, une traction avant, les trains roulants les plus agiles, un moteur à essence puissant, des insignes comme la bande rouge sur la calandre et des housses de siège à carreaux. Le nec de cette génération est la Golf GTI Clubsport, les ingénieurs améliorent le moteur, les freins, la suspension et la direction pour créer un véhicule encore plus excitant à conduire. Sous le capot, il y a un moteur quatre cylindres turbocompressé de 2,0 litres qui développe 300 chevaux et 400 Nm de couple. À titre de comparaison, la GTI standard produit 242 ch et 370 Nm. La Clubsport est livrée exclusivement avec une boîte de vitesses à double embrayage à sept rapports pour être en raccord avec son époque, les puriste regrettent la boite manuelle. VW estime son accélération de 0 à 100 km en 5.6 secondes et une vitesse de pointe limitée électroniquement 250 km/h.
Golf 8 R (ultimes)
Bien que la GTI est signe de rapidité, la Golf la rapide jamais produite est une R, la version ultime de la Golf qui surplombe la GTI mais qui n'a pas l'aura de cette dernière et n'aura pas une prolongation de vie comme la Golf même si la dernière version limité à fait le buzz.
La Golf R 333 Limited Edition produite en 333 exemplaires et 333 cv, elle peut boucler le 0 à à100 kilomètres/heure en 4,6 secondes et atteindre une vitesse de pointe de 270 kilomètres/heure. Outre sa puissance accrue, la Golf R 333 se distingue également par la couleur de sa carrosserie, elle est peinte en Lime Yellow Metallic, des jantes noires de 19 pouces et une ligne d'échappement d'Akrapovic ce qui vous assure de ne pas passer inaperçu, un style qui pourrait bien devenir un objet de collection aux yeux de plusieurs. Une version réservée exclusivement pour l'Europe et qui c'est vendue en ligne en 2023 au prix de 76 410 euros en seulement 8 minutes !
Baroude d'honneur, VE récidive en 2024 avec les nouvelles Golf 8.5, dans leurs versions R et R Variant, se distinguent par une face avant revisitée, des optiques modernisées, et un logo Volkswagen illuminé. Parmi les évolutions notables, on remarque également l'ajout de nouvelles jantes forgées de 19 pouces, pesant seulement 8 kg chacune, améliorant ainsi la dynamique de conduite grâce à une réduction de la masse non suspendue.
À l'intérieur, la Golf R 8.5 intègre des avancées technologiques similaires à celles de la huitième génération de la Golf. Le tableau de bord Digital Cockpit Pro de 10,2 pouces et l'écran central de 12,9 pouces, livrés de série, forment un duo d'affichage moderne et intuitif. Le système d'infodivertissement a été restructuré, incluant désormais un assistant vocal avancé, capable d'interagir avec ChatGPT, montrant l'intégration poussée de la technologie dans l'habitacle. Sous le capot, la Golf R et la R Variant 8.5 bénéficient d'une augmentation de puissance grâce à leur moteur 4 cylindres TSI de 1.984 cm³, passant de 310 à 333 chevaux (245 kW) et délivrant un couple de 420 Nm. Cette amélioration, comparable à l'édition spéciale « 20 Years », permet à la Golf R à cinq portes d'atteindre les 100 km/h en seulement 4,6 secondes, tandis que la R Variant y parvient en 4,8 secondes. En optant pour le pack Performance, la vitesse de pointe peut être portée à 270 km/h. Cette motorisation est couplée exclusivement à une boîte de vitesses DSG à 7 rapports et à la transmission intégrale 4MOTION avec Torque Vectoring R-Performance.
L'histoire de la Golf R a commencé en 2002 avec la légendaire Golf R32.
La future GTI
Annoncée un jour arrêter et un jour programmée, la future Golf GTI sera finalement produite, VW ne pouvant se passer de son modèle le plus vendu de l'histoire, mais cette GTI n'aura plus d'injection puisque qu'elle sera électrique et sa dénomination ne se fera pas sous l'appellation ID (comme le reste de la gamme des produits électrique de VW), donc le ''i'' de ''gti'' sera peut être pour le mot ''ilitricititi'' :) (humour algérien) qui laisse entrevoir encore une longue lignée à la GTI.
La Saga Peugeot GTI
Peugeot à construit une longue saga débuté avec la 205 avec des modèles tout aussi réussis comme avec la 106, la 309 et la dernière qui clos cette lignée : la 208, mais on n'oublie jamais son premier amour.
La 205 GTI
En 1982 Peugeot créé le sacré numéro 205 en 1982 et en 1983 la lion sort ses griffes avec la la 1ere esquisse d'une sacrée 205 GTI, c'est ainsi qu'en 1984, la première concurrente de la Golf GTI est enfin là.
Succès commercial, elle sera produite à 332 942 exemplaires de 1984 à 1994, la 205 GTI jouit d’une formidable expansion des petites berlines sportives. Pour satisfaire une clientèle très ciblée jeunes et masculine dans sa majorité, elle sera disponible successivement avec des motorisations de 1.6L de 105ch, 115ch puis du 1.9L de 130 ch.
Caractéristiques de la 205GTI, telle une vraie sportive, elle est déclinée qu'en version 3 portes avec jantes jantes inspirées de la version Turbo 16s, des élargisseurs d'ailes en plastique, baguettes et pare-chocs avec liseré rouge, logos « 1.6 » ou « 1.9 » avec en dessous « GTI » sur les montants de custode arrière en forme d'haricot, des projecteurs additionnels dans la jupe de bouclier avant, des freins à disques ventilés à l'avant, des tambours larges à l'arrière, des sièges baquets similicuir et tissu, des vitres électriques en option et la caractéristique moquette rouge.
Plusieurs versions spéciales ont été disponibles : la "Grand Prix", la "Sport", la "Top Line", la "Magic", la "Australia", la "Gentry" (qui n'est en fait pas une GTI) et l'une des plus recherchées : la "Griffe" avec sa couleur "Vert fluorite" et ses jantes de 1.9 gris anthracite.
La 205 GTI a réussi à raviver l’image de la 205 et à rajeunir celle de la marque.
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